Cours de rêves n°1, session 1C

Votre premier cours se déroule dans une foret! Une foret de conifères (de pin et de sapin) assez dense. Vous pouvez facilement vous y perdre et ça résonne facillement ce qui est étrange. Pas d'animaux dans cette foret, uniquement les quatre élèves.

Bon jeu !!!

PS: Vous poster dans l'ordre que vous voulez, puisque certaines personnes sont en vacance je ne donne pas d'ordre de post précis! Mais tenté de ne pas faire mourir les persos avant que tout le monde sois là meme si ça prends du temps les cours peuvent s'étalait sur des semaines peu importe!

Gally était allongée à même le sol dans une forêt. Elle dormait encore sur ce tas d'aiguilles de sapin lorsque brusquement elle se réveilla.
*Mais qu'est-ce qui se passe???, où est-ce que je suis? ...attend j'étais à ....l'infirmerie, oui à l'infirmerie et elle ma fait boire ce thé et ....et c'est quoi cette forêt???*
Mais avant de continuer ces pensées elle remarqua qu'elle était dans une robe rouge et que de longs cheveux blonds parcouraient sa tête et ses épaules...
<<AHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!! MAIS C'EST QUOI CA?!!!!!!!!!!!!!!!!!>>
Mais seulement l'écho lui répondit...bizarre...
Elle se leva d'un bond pour voir ce qui avait changé. En plus des vêtements et des cheveux, elle avait deux petites ailes dans le dos!!
*Ah, ok je rêve...mais ça à l'air tellement réel!!! qu'est-ce qu'elle m'a dit déjà l'infirmière... m'en souviens plus!!! je suis sur que c'est de sa faute!!!*
Elle décida de trouver de l'eau ou une marre, enfin quelque chose comme ça pour voir son reflet et admirer les dégats... De ce fait, elle commença à marcher tout droit en s'enfonçant dans la forêt...

Anna ouvrit les yeux, un sourire au lèvre. Elle regarda où elle se trouvait cette fois-ci. Une forêt. Comme c'était intéressant. Quelle particularité avait elle ? Car c'était rarement un endroit ordinaire. Anna se leva, jetant un rapide coup d'oeil à sa tenue. Toujours la même. Bien sur, mais Anna aimait tellement son apparence dans le rêve qu'elle ne pouvait s'empêcher de s'admirer. Bien maintenant il fallait trouver les autres élèves. Elle n'était pas seule, elle avait vu les rideaux d'un lit tiré. Donc pour l'instant elle étaient deux. Quand viendrait les autres ? Anna verrait déjà.

Anna se mit donc en route de sa démarche gracieuse et silencieuse. Elle ne voulait pas être repéré. Elle entendit bientôt l'écho de pas. C'était trop fort pour que ce soit le bruit des pas. Ainsi donc c'était là la particularité de cette forêt. Anna redoubla d'effort. Il était hors de question de se faire remarquer. Du moins pas pour l'instant. Suivant le bruit, elle finit par trouver l'une de ses camarades. Elle l'observa. C'était une fille, du moins dans le rêve. Et sûrement dans la réalité aussi car, elle semblait très féminine. Ceux dont l'identité n'était pas la même que dans la réalité avait souvent très traits ambiguë avait remarqué Anna. Car oui, Anna ne pouvait s'empêcher de vouloir savoir qui était qui. La jeune fille avait de long cheveux blond, un visage d'ange et des petites ailes sur le dos. Elle semblait très douce. Anna resta en retrait. Pour l'instant, elle ne souhaitait pas être remarquée. Elle ovulait observé d'abord.

Vanity met longtemps à se manifester. Andrea la sent émerger de son sommeil, mais elle ne se réveille pas d'un coup. Vanity avait pourtant l'habitude de paraître lorsque Andrea ne le souhaitait pas et voilà que parce qu'elle devait sortir, elle lambinait. Finalement, le regard volet de Vanity s'ouvre sur une dense forêt. L'odeur de résine monte aux narines de Vanity et elle plisse le nez. Pas encore tout à fait réveillée, elle se redresse, et s'étire parresseusement, les yeux mi-clos et émet un grognement endormi.

C'est à ce moment que Vanity se rend compte de quelque chose d'étrange. Habituée d'être coincée dans la tête d'Andrea, elle se rend soudainement compte qu'elle et matérielle et dans un univers à elle. Contrairement à l'habitude, ce n'est pas Vanity qui gronde dans la tête d'Andrea mais Andrea qui fredonne lentement dans la tête de Vanity. C'est une toute nouvelle sensation pour Vanity.

Encore assise à la romaine sur un tapis d'aiguilles de connifères, Vanity commence une auto inspection de ce nouveau corps. Elle débute par ce qui est le plus accesible à ses yeux, à savoir ses mains. Une main toute menue, aux doigts délicats et aux ongles parfaitement manucurés et vernis de violet. Elle tend ses deux mains devant elle, fait tourner ses poignets et constate qu'elle a de bien jolies mains. Poussant plus loin le détail de son corps, elle découvre qu'elle est vêtue d'une somptueuse robe aussi violette que ses ongles qui semble être en soie et en satin. Peu importe l'étoffe, la douceur du tissus sur sa peau est sublime. Elle se lève et fait quelques tours sur elle-même, question de vérifier comment la robe suit ses mouvements. C'est parfait, l'étoffe s'enroule gracieusement autour de ses jambes et reprend ensuite sa place. Des éclats attire son attention et elle remarque avec un plaisir évident que de nombreux fils d'argents et constellé de pierries l'enlacent de manière désordonnée. Elle effleure ses joues, puis son visage, mais ses doigts ne sont pas ses yeux et elle aurait bien aimé se voir avant de se mettre en marche.

D'ailleurs, elle ne comprend pas pourquoi il n'y a de miroirs nul part. Il devrait y avoir des miroirs, des miroirs partout ! Oh, mais que voit-elle qui miroite près d'un amas de racine ? Elle y acourt et découvre avec joie que c'est un miroir d'argent finement décoré. Elle le retourne et apprécit pour la première fois son visage mutin. Du bout des doigts, elle peut maintenant explorer son visage au touché et au regard. Glissant sur la joue, son doigt remonte sur son front et contourne l'oeil gauche pour descendre en équilibre sur l'arrête de son nez. Il apprécit la douce et tiède humidité de ses lèvres et poursuit sa descente jusqu'au menton, puis il plonge vers le gorge.

Suivant des yeux son propre doigt, elle se surprend à aimer le contact visuel autant que le contact tactile. Laissant agir ce doigt qui quitte la tiédeur de sa peau pour le satiné de sa robe, elle apprécit la rondeur des courbes de sa poitrine et la cambrure de ses hanches.

Elle arrête cependant sa découverte de ce nouveau corps "réel" parce que quelques mots de l'infirmière lui reviennent en mémoire ; "A ce moment tu te retrouveras aspiré dans un rêve accompagné de trois de tes camarades." Trois camarades. Ils étaient donc quatre dans cett forêt ? Elle semblait immense cette forêt. Elle espère qu'ils ne sont pas trop loin pour qu'elle puisse les trouver rapidement, question qu'ils puissent avoir le bonheur de poser sur elle un regard admiratif. Cependant, une autre consigne de l'infirmière s'imopse à son esprit ; "n'oublie pas qu'a présent ils sont tous des menaces potentiels, leurs but et te t'évincé pour que tu sortes du rêve et que tu ne puisse pas trouvé la clef". Une menace ? Voyons, on ne menace pas Vanity sans s'exposer à de terribles conséquences ! Elle n'avait aucune idée de ce que pouvait être la clé, mais elle la trouverait certainement et elle ne laisserait certainement pas ses camarades inconnus l'en empêcher ! D'un geste conquérant, elle accroche le joli miroir à sa ceinture de satin.

C'est donc avec une détermination presque téméraire que Vanity quitte son point de chûte pour s'enfoncer dans la forêt.

Invité

Endormit dans la salle de rêve de l'Infimerie quelques secondes plus tot; c'est dans une foret qu'elle rouvrit les yeux. La première chose qu'Himiko vit fut le ciel. Ou plutot le peu qu'on pouvait en voir a travers les épais ramures des arbres et leurs épines vertes. Des pins, des sapins, et des cyprès l'entoure. Mais pour l'instant elle ne fixe que cet éclat de ciel assez foncé; grisatre. Bizarre, mais qu'est-ce qui ne l'était pas dans ses rêves étranges. La jeune fille se releva, sur les coudes, les écorchants au passage avec les aiguilles des conifères environnent.

Peu importe, la douleur elle la connait, l'apprivoise et s'amuse avec elle. Si bien que de fil en aiguille de pin, le mince filet de sang qui coule elle ne le sentit pas. Himiko se leva alors entièrement, observant un peu sa tenue et l'époussentat de toutes ses aiguilles marrons et sèches. L'imperméable bleu qu'elle portait comme chaque année était fait d'une matière similaire au latex, si bien que les aiguilles tombèrent au sol sans trop d'effort et ne purent s'accroché à sa tenue. Observant par la millième fois son habit de pluie, elle se dit qu'il vaudrais mieux restait sur ses gardes. D'autres personnes se trouvaient avec elle. Elle était meme la dernière a ce qu'elle avait pu voir des silouette flou derrière les baldequin de lin blanc.

La demoiselle ruisselante d'eau comme s'il pleuvait constamment s'avança dans la foret assez sèche. Ce qui ajouté une touche d'étrangeté a sa tenue assez annodine en apprence. Le paraluie a la main, posé tel l'ombrelle des jeunes femmes d'antant sur son épaule, elle s'avança et remarqua que les pas de ses bottes de caoutchou bleu resonnait en écho lointain. Etrange pour une foret si dense... Mais rien ne pouvait plus étonné la jeune fille qui était venu dans ce genre de rêve trop souvent pour avoir un choc a la vue de l'endroit et de sa particularité.

Himiko se mit donc en quète de ses "camarades de jeu" comme elle aimait a le pensé. Car il n'y avait pas d'autres mots, un jeu, le jeu d'une jungle c'est mangé ou etre mangé et dans ce cas. Himiko était du coté des lions, des tigres et des panthères! [Reférence au Magicien d'Oz...] L'adolescente entendit enfin des bruits de pas autre que les sien. S'avançant sans se caché du tout elle pu voir juste devant elle une jeune femme vétue d'une robe violette et dont les bras et le corps étaient entouré de fils couverts de perles comme des goutellettes de pluies. Jolies fille au passage, mais menace potentiel. Cependant c'est avec aisance et sans crainte qu'elle continua de son pas rapide a avancé vers la jeune femme.

Elle ne dit rien, pas de salutation ni rien. Quand elle arriva a sa hauteur elle la dévisagea juste et resta un moment face a elle. Bon, une personne de trouvé deux autres encore a déniché. La jeune femme en face d'elle semblait assez excentrique et plutot imbu de sa personne ou de son apparence. C'était ce que ressentait Himiko, qui avait un sens aigu des premières impréssions. Rompant enfin le silence elle finit par dire de sa voix froide et légèrement lugubre:

"Tu as vu nos deux autres camarades ou il faut que je les cherches moi-meme?"

Ni bonjour, ni reflexion sur la jeune fille juste une question. Tant qu'à faire si elle était là avant elle autant tiré profit de ce qu'elle pouvait savoir, et si elle ne savait rien elle n'avait aucune valeur aux yeux de Himiko qui repartirait a la recherche des deux autres comme elle était venue.

Vanity avance dans la forêt d'un pas allègre. Visiblement, cette marche lui plait et elle rayonne. Elle s'amuse à parfois marcher, parfois courrir. Elle fredonne une douce mélodie, tournoyant parfois sur elle-même, jusqu'à ce qu,un bruissement se fasse entendre et qu'une voix l'interpelle.

Oh mais quelle impolitesse elle a cette fille ! Une malpolie et désagréable. Et puis, elle est nettement moins jolie qu'elle. De quelle droit se permet-elle d'être si désagréable ? Si elle poursuivait dnas cette voie, Vanity n'aurait d'autre choix que de lui dire sa façon de pensée, amsi pour l'instant, elle était plutôt euphorique. C'est donc avec un mielleux et ravissant sourire qu'elle répond à l'impertinente fille.

- Bonjour ! Je ne les ai pas croisé encore. Moi, c'est Vanity, mais tu peux m'appeler Van. Et toi, quel est ton joli prénom ? Tu peux les chercher seule si ça te chante, mais à deux, c'est bien plus amusant. Je vais donc t'aider. Mio je ne les ai pas vu de ce côté-ci et visiblement, tu ne les as pas vu par-là. Si nous allions par là-bas alors ?

Tout en parlant, Vanity prend son miroir et replace soigneusement quelque mèches violette à travers son impressionnante coiffure. Elle semble se satisfaire du résultat.

La contemplation d'Anna dura un certain moment, jusqu'à qu'elle se lasse. Alors elle s'en alla sans un bruit, à la recherche des autres partenaires de jeu, car pour Anna ce rêve était un immense terrain de jeu et elle s'y amusait comme une folle. Cependant, la première personne qu'elle avait rencontré, sans doute une fille, paraissait trop gentille, il faudrait la traumatiser sans doute un peu, histoire que son visage d'ange prenne un peu de couleur et des traits plus agréable comme ceux de l'horreur ou de la peur. Voir de la colère. Anna se réjouissait déjà d'avance à ce spectacle. mais peut être serait il inutile de s'en occuper. d'autres s'en chargerait sûrement à sa place. Enfin ça dépendait de ses deux autres camarades, qu'elle recherchait activement.
Déambulant dans la forêt. Elle suivait ses pas tranquillement, pour ne pas faire de bruit. Mais bientôt cela ne lui suffit plus. C'était trop long et elle ne voyait toujours personne. Impatiente, Anna accéléra le pas, faisant toujours attention à ne pas faire de bruit. C'était là un exercice compliqué que d'accélérer la cadence en restant toujours silencieux et comme c'était compliqué et demandait de la concentration et de l'attention, cela plut énormément à Anna. Tellement plongée dans ses mouvements, elle failli ne pas entendre les bruits d'une discussion. Mais seulement failli.
Elle s'arrêta l'oreille tendue. Oui elle n'avait pas rêvée. Elle reprit alors sa marche, une marche plus calme, en direction des voix. A qui aurait elle à faire ? Lorsqu'elle finit par entendre clairement la conversation, elle s'arrêta et grimpa dans le premier arbre qu'elle aperçut. Elle monta le plus haut possible et se percha sur une branche, faisant bien attention, à ce que sa cape rouge sang, ne soit pas visible. Ainsi caché par l'épais feuillage constitué d'aiguilles fines, Anna attendait de voir à qui elle avait à faire.

Gally cherchait désespérémment une flaque d'eau au milieu de cette forêt si étrange qu'elle ne faisait même plus attention à ce qui se passait autour d'elle. Elle s'était mise à courir dans tous les sens en faisant craquer branches, brindilles et aiguilles des arbres qui se trouvaient au sol.

En plus cette robe la génait plus que tout et ses mèches de cheveux qui lui tombait sur les yeux à chacun de ses pas l'énervait au plus au point.

Mais au moment même où elle allait abandonner, une marre apparut devant elle. Celle-ci était recouverte de plantes aquatiques en tout genre et quelques grenouilles se promenait pas loin.Elle ne faisait pas plus de 1m de longueur mais c'était suffisant.Gally s'en approcha, quelque peu essouflée par sa course et se mit à genoux entre les racines d'un arbre qui se trouvait au bord de l'eau.Elle écarta les feuilles et autres brindilles de la surface de l'eau et se contempla. Son visage n'avait pas tant changé que ça en fin de compte, à part la couleur de ses yeux et ses cheveux, elle était identique, ce qui la rassura un peu.Elle resta quelques minutes à s'admirer et fut surprise de voir qu'elle aimait ça.

Mais tout à coup, lui revint en tête l'image de l'infirmerie : il y avait quatre lits à baldaquin et...

"Se pourrait-il qu'il y ait d'autres personnes avec moi???"

Elle se leva d'un bond, manqua s'entraver dans sa robe et tomber à l'eau. Elle se mit à courir dans le sens inverse par lequel elle était venue. Mais au bout de quelques foulés , elle tourna la tête pour voir la marre et vit qu'elle avait disparut...